Sa mission première : œuvrer à la pérennité de la vie française en Acadie
Bouctouche, Nouveau-Brunswick, le 21 novembre 2019 – L’organisme sans but lucratif Nation Prospère Acadie (Nation Prospère), créé à l’automne 2018 dans le but d’œuvrer à la pérennité de la vie française au Canada atlantique, pourra désormais compter sur un levier additionnel pour poursuivre sa mission. Le statut d’œuvre de bienfaisance lui a récemment été décerné, lui permettant désormais la possibilité de remettre des reçus officiels de dons aux fins de l’impôt.
La désignation accordée à Nation Prospère s’applique à quatre domaines reconnus aux fins de la bienfaisance et qui sont 1) ses travaux de recherches portant sur la pérennité de la vie française en Acadie, 2) la protection et mise en valeur du patrimoine historique et religieux d’importance à l’Acadie, 3) la conservation et la mise en valeur de collections d’œuvres artistiques acadiennes de haute qualité et 4) la protection de l’environnement naturel de l’Acadie. Les travaux de recherches portant sur une Assemblée nationale de l’Acadie et chapeautés par l’organisme s’inscrivent notamment dans cette orientation.
« Cette désignation vient confirmer et renforcer notre intention, à Nation Prospère Acadie, d’œuvrer au service de l’Acadie au 21e siècle, » souligne le président du conseil d’administration de l’organisme, Michel Cyr. « Nous sommes là pour soutenir les efforts en cours dans le but de permettre à l’Acadie d’affronter les grands défis qu’elle fait et fera face au cours des prochaines décennies. »
Le mandat de Nation Prospère (nationprospere.ca) couvre l’ensemble du territoire du Canada atlantique, ce qui réjouit le directeur général de l’œuvre, Daniel LeBlanc. « Les défis sont multiples et variés, particulièrement dans les régions rurales de l’Acadie française, » mentionne-t-il. « Par l’entremise de nos actions et de nos travaux de recherches, nous espérons être en mesure d’identifier des solutions durables pour permettre à l’Acadie de prospérer. Notre travail ne fait que commencer », conclut M. LeBlanc.
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